« Sa santé d’abord » est une campagne éducative qui mettra en lumière les problèmes de santé des femmes – plus précisément ceux qui figurent parmi les plus urgents aujourd’hui, notamment la santé osseuse, la santé cardiaque et le cancer. Apprenez-en davantage sur certaines conclusions surprenantes de notre sondage effectué auprès des femmes sur leurs connaissances à l’égard des problèmes de santé et des obstacles à l’action; obtenez des renseignements et des outils pour donner priorité à votre santé; puis partagez ce que vous avez appris avec les femmes dans votre entourage afin que chacune d’entre elles se sente habilitée à faire de même et puisse encourager d’autres femmes à leur emboîter le pas.
Résultats d’un sondage sur le cancer
Un sondage récemment effectué au Canada a mis en lumière certaines conclusions inattendues au sujet de la façon dont les femmes perçoivent le cancer et les défis connexes:
Un sondage récemment effectué au Canada a mis en lumière certaines conclusions inattendues au sujet de la façon dont les femmes perçoivent le cancer et les défis connexes.
Environ trois femmes sur quatre non atteintes de cancer disent s’inquiéter des effets secondaires des traitements du cancer (79 %), de l’impact sur leurs proches (79 %) et de la perte de leur mode de vie si elles recevaient un diagnostic (75 %).
Le cancer est au bas de la liste des problèmes de santé dont les femmes parlent à leur médecin.
La Société canadienne du cancer estime que près d’un Canadien sur deux est appelé à développer un cancer pendant sa vie. En 2016, le cancer était la principale cause de décès parmi les Canadiens. Pourtant, dans le sondage, peu de femmes (4 %) ont dit parler du cancer à leur fournisseur de soins de santé.
Il y a aussi des signes inquiétants au sujet du dépistage parmi les femmes plus âgées.
Une femme sur trois de plus de 65 ans (33 %) dit qu’un dépistage du cancer ne lui a jamais été offert. En matière de dépistage du cancer du col de l’utérus parmi les femmes plus jeunes (30 à 44 ans), trois femmes sur trois disent n’avoir jamais subi de dépistage.
La majorité des femmes (60 %) dans tous les groupes d’âge ne parlent pas du cancer avec leur famille et leurs amis. Toutefois, si un membre de leur famille ou un ami leur suggérait d’obtenir un dépistage du cancer, la majorité (83 %) disent que cette conversation aurait pour effet d’accroître la probabilité qu’elles obtiennent le dépistage en question, ce qui met en lumière un écart inquiétant.